Témoignages
Leur vie a été changée en profondeur.
Ils ont vécu une rencontre personnelle avec Celui dont parlent les Évangiles.
Pour nous, ils reviennent sur leur parcours avec beaucoup d’honnêteté. Concernant les jeunes, suivez-nous ici >>
Elodie
Chez ma copine d'école, il y avait quelque chose qui m'intriguait...
Christophe
J'avais de la haine pour les églises évangéliques...
Christian
Enfant, je n'y arrivais pas, je n'étais jamais assez bien...
ELODIE
Je suis née dans une famille catholique pratiquante.
Je me souviens que lorsque j’étais toute petite, ma mère nous parlait de Dieu et tous les soirs elle nous lisait une histoire tirée d’un livre, « la Bible en 365 histoires ». J’aimais beaucoup entendre parler de Dieu, mais Il me paraissait tout de même lointain et inaccessible. Je me rappelle aussi que je me posais souvent des questions. D’où venons-nous ? Où allons-nous ? Pourquoi sommes-nous sur Terre ? Qui m’a créée ?
J’avais soif de réponses.
Puis, ce fut à l’âge de huit ans qu’il se produisit un événement apparemment sans importance, mais qui allait changer tellement de choses pour moi. J’étais alors au CE2 lorsqu’une jeune coréenne est arrivée dans mon école avec ses trois frères et sœurs. L’institutrice nous recommanda de bien l’accueillir et de l’aider si besoin, mission que j’ai tout de suite remplie, dès le 1er jour où Sophie est arrivée !!
Elle avait deux ans de plus que moi, et rapidement nous sommes devenues de bonnes amies. Ce qui me frappait, c’était sa joie de vivre. Il y avait chez elle quelque chose qui m’intriguait – comment pouvait-elle être toujours aussi pleine de joie ?! D’autant plus, comme je l’ai appris, qu’elle était une petite fille adoptée. Elle m’avait alors racontée que « Dieu avait répondu à ses prières », qu’elle avait demandé à Dieu de ne pas être séparée de ses frères et sœurs – et qu’en réponse à ses prières, un couple sans enfant l’avait adoptée !
Sa façon de parler de Dieu était si nouvelle pour moi, si différente de ce que je connaissais jusque-là. Elle en parlait comme s’Il était tout proche, comme s’Il pouvait l’écouter, elle, une petite fille de 10 ans ! Elle avait été abandonnée, puis séparée, et enfin adoptée, et malgré toutes ces terribles secousses, elle vivait dans la joie. C’est comme si Dieu était proche d’elle, invisible mais tellement réel.
A la récréation, Sophie me parlait souvent de son église, de son pasteur.
Deux ans plus tard, j’étais alors au CM2, Sophie m’a invitée à une colonie de vacances, et ça a été vraiment un temps merveilleux. Les jeux, les activités, tout était si bon. Mais ce qui m’a apporté le plus, ce qui m’a touché profondément, c’était les moments de partage autour de la Bible. On nous parlait simplement de Dieu, de Jésus. Et tout le personnel était vraiment très gentil, dévoué. Lorsque je suis revenu à la maison, avec ma sœur nous avons décidé d’aller dans l’église de Sophie. Et c’est dans cette église que j’ai vraiment compris ce qu’était la vraie foi, une foi personnelle véritable, vécue par des adultes, et aussi par des enfants. J’ai suivi les leçons du catéchisme, puis j’ai participé aux cultes de cette église, en compagnie de gens qui connaissaient eux aussi cette paix et cette sérénité.
Ma compréhension du message de l’Évangile s’est approfondie, j’ai compris que Dieu offre à tout le monde, gratuitement, une réconciliation avec Lui, un pardon total. Et que c’était possible grâce à Jésus, qui avait accepté la mort sur une croix et qui était ressuscité !
A 14 ans, j’ai décidé de suivre Jésus de tout mon cœur et de m’engager en me faisant baptiser, comme le dit la Bible.
Enfant, j’avais eu dans mon cœur cette « pensée de l’éternité » dont parle la Bible, et grâce à Sophie et sa vie rayonnante, j’ai pu découvrir le pardon de Dieu et Son amour merveilleux. Cette aventure m’a marquée à tout jamais.
Aujourd’hui, quelques décennies plus tard, et je poursuis toujours cette grande aventure avec bonheur.
Je fréquente aujourd’hui une église évangélique mennonite, mais ça n’a pas toujours été le cas !
En fait j’ai passé presque toute mon enfance et même une partie de mon adolescence dans le milieu évangélique. Ça a été l’école du dimanche (catéchisme), puis participation aux cultes et j’ai même fait partie du groupe musical qui animait la louange le dimanche matin…
Plus tard, avec mon père, nous avons été très choqués par certaines affirmations. Il y avait par exemple la prière pour les malades, et si le miracle n’avait pas lieu, ou que la personne mourait, j’entendais dire que c’était parce que le malade n’avait pas vraiment foi en Dieu, ou que sa foi était insuffisante.
J’étais alors adolescent et je me souviens que mon père a alors décidé de s’éloigner du milieu évangélique. Pour moi, tout cela était écœurant, et j’étais complètement révolté contre ces églises et leurs pasteurs. A l’inverse de moi, mon père a fait le choix de continuer à étudier la Bible, et à vivre en accord avec elle. Mais cela n’était pas pour moi ! Je ne trouvais aucun intérêt à parler de Dieu ou de la Bible.
C’est à cette époque que j’ai pris une série de mauvaises décisions et que mon existence est devenue progressivement totalement chaotique. A l’aube de la quarantaine, je n’avais plus rien de solide dans ma vie. Divorce, lourds problèmes de santé, gros soucis financiers, alcool…
Pourtant des années plus tard, avec le recul je dois être honnête et reconnaître que malgré toute cette rébellion qui m’habitait, Dieu ne m’a jamais abandonné. Il y a toujours eu comme de petites « intuitions » qui intervenaient au bon moment et m’évitaient des drames, un peu comme une main invisible qui me protégeait, même quand je faisais des centaines de kilomètres en état d’ébriété…
Puis, plus tard, mon père est subitement tombé gravement malade. Une semaine avant son décès, j’ai eu une longue conversation avec lui. Il savait qu’il n’y avait plus rien à faire et que sa fin terrestre était toute proche. C’était terrible parce que je ne pouvais rien y changer.
Mais lui, il était serein, paisible. Ce soir là, j’ai compris ce que mon père avait réellement découvert au travers de l’étude de la Bible ! Il avait trouvé la véritable paix.
Aujourd’hui, moi aussi, je me suis mis à étudier la Bible – et je me suis même joint à une église évangélique mennonite !
Cela ne s’est pas fait facilement et j’ai dû surmonter une vraie hostilité et une grande méfiance. Mais petit à petit je me suis apaisé, et je poursuis la route en leur compagnie.
Comme le dit l’Évangile, l’homme doit bâtir sa vie « sur le Roc » et non pas « sur le sable ». C’est ce que je fais désormais, pas à pas, avec la conviction profonde que la Bible nous indique le chemin de la paix véritable et éternelle.
CHRISTIAN
Depuis mon enfance, j’avais soif de connaître ce Dieu dont mes parents m’avaient parlé.
Ils étaient missionnaires au bagne, en Guyane. Et ils avaient vu tellement de vies transformées par la puissance de l’Évangile !
Me concernant, je faisais des efforts pour avoir une vie correcte, une vie belle, comme la leur, mais je n’y arrivais pas. J’étais même plutôt désespéré de voir mon impuissance à changer mon coeur.
C’est quand j’ai eu 12 ans que je me suis mis à lire la Bible par moi-même. C’est là que j’ai commencé à réaliser que Dieu était un Père, un Père qui nous aime vraiment, qui s’intéresse vraiment à chacune de Ses créatures. Et tout doucement je me suis laissé aimer, et transformer. Mes craintes ont été dépassées par Son amour, Son acceptation de qui j’étais dans ma nature profonde. J’étais plutôt timide, renfermé, et j’avais peur des autres. Mais Dieu a versé dans mon cœur de l’amour, un amour pour les autres qui a dépassé toutes mes barrières humaines.
Je peux vraiment dire aujourd’hui que c’est cet amour qui m’a libéré, qui m’a transformé de l’intérieur.
Des années plus tard, alors que j’avais achevé mes études de médecine et que je travaillais en Afrique avec mon épouse sur une station missionnaire, j’ai pu encore vivre une nouvelle intervention miraculeuse de Dieu. Nous étions en 1976 et ma femme était atteinte d’une fibrose endomyocardique évolutive qui lui laissait 2 années de vie. Dieu lui a encore accordé 48 ans de vie, elle est partie en 2024 vers la patrie céleste.
Lorsque j’ai passé ma thèse de médecine, sur le thème de la Bible et la santé, le jury a été très étonné de constater que les textes bibliques vieux de 3500 ans, que je citais dans ma thèse, donnaient des prescriptions médicales toujours valides aujourd’hui !
Au cours des années j’ai vu à mon tour des patients, des prisonniers, des personnes ayant de sérieux problèmes prendre Dieu au mot et expérimenter de grands changements dans leur vie…
Je sais une chose, que j’ai constatée si souvent, c’est que l’homme est vraiment esclave du mal, du péché, et qu’il est totalement séparé de Dieu.
Mais je sais aussi que Dieu a envoyé Jésus pour rétablir le contact avec l’être humain. Jésus a payé le prix fort pour cela. Désormais quels que soient nos échecs, nos souillures, la réconciliation avec Dieu est possible pour celui qui Lui demande pardon et qui Lui fait réellement confiance. Et cette offre, je sais qu’elle est pour tout le monde.
CORINNE (Vidéo)
Depuis son enfance, le cœur de Corinne est marqué par les blessures et la peur. Et lorsqu’une amie proche se suicide, ce sont des flots d’angoisses qui l’envahissent ; si bien qu’elle croit sombrer en entraînant avec elle sa famille. C’était sans compter sa rencontre avec l’Espoir…
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En perte de repères, Jonathan avait cru trouver le bonheur dans la drogue, les boîtes de nuit, la fête et le plaisir. Très vite habitué à un environnement marqué par la haine et la violence, il risque de perdre plusieurs fois sa vie.
C’est alors qu’un jour, son frère aîné, pour qui il éprouve un profond respect, lui écrit une lettre qui va changer sa vie.
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Le Titre
Église mennonite des Perches – 12 rue des Perches à Belfort
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